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法语:时尚女魔头真实的一面(组图)(2)

时间:2024-04-22 20:38来源:高清视频播放器 作者:在线观看 点击:
Mettreen relation jeunes créateurs et groupes de mode. Dans le passé, elle anotamment convaincu Bernard Arnault d’embaucher Marc Jacobs (LouisVuitton) et John Galliano (Dior). Sa vision du métier

  Mettreen relation jeunes créateurs et groupes de mode. Dans le passé, elle anotamment convaincu Bernard Arnault d’embaucher Marc Jacobs (LouisVuitton) et John Galliano (Dior). Sa vision du métier est cynique etgénéreuse : aider la mode pour soutenir l’industrie, vendre du rêvepour vendre, tout de même, un magazine. Et ainsi consolider sonpouvoir. Chaque année, le trophée Vogue, destiné à de jeunes créateurs,ainsi que le gala du Costume Institute au Metropolitan Museum de NewYork participent de la même idée : faire de la « fashion » l’inévitablecreuset des talents du moment. Avec elle, en chef d’orchestre, à labaguette.2. héritière d’une longue tradition

  CarmelSnow au Harper’s Bazaar dans les années 40 et 50, Diana Vreeland àVogue pendant les années 60, John Fairchild au Women’s Wear Daily desannées 60 à 90, Anna Wintour aujourd’hui. Tous ont régné plusqu’écouté, ont été jalousés et détestés, respectés, aussi, pour leurdureté. Typiquement étasunienne, cette vague d’« éditeurs-terreurs »s’explique par le fait que les Américains, premiers consommateurs demode sur terre et regardant, de loin, les créateurs européens proposerde nouvelles normes esthétiques, se sont – autant par défaut que parenvie – attribué le rôle d’arbitres des élégances. Sauf que la forced’Anna Wintour est bien plus grande que jadis。

  一位有原则的女性

Anna Wintour

  Une femme de principes

  Anna Wintour était une petitefille de la bonne société londonienne, élevée entre un père éditeur dejournaux et une mère américaine, fréquentant les « bonnes » écoles etnourrie aux codes de la haute bourgeoisie. À l’âge de 10 ans, ellesèche devant un formulaire de classe à la question duquoi-faire-plus-tard. Son père lui lance : « Rédactrice en chef deVogue. » Les deux frères et la sœur ont fait de brillantes études, sontjournaliste politique, haut fonctionnaire international, responsabled’un programme d’aide aux mal-logés. Que de sens, de grand cœur, enmiroir de son métier à elle, caricaturé comme « vain, élitiste ». Elley met donc le plus de sens possible ; outre la couture, un imaginaireraffiné, des sujets sérieux et une écriture haut de gamme – Joyce CarolOates ou Donna Tartt, succédant à Truman Capote ou Aldous Huxley. Levéeà 5 h 30 chaque matin, Anna W. joue au tennis, se fait maquiller etcoiffer, arrive aux bureaux de Vogue, au douzième étage d’une tour àTimes Square, au cœur de New York, entre 8 heures et 9 heures, consommedes litres de café de chez Starbucks, décide de tout sans avoir à sejustifier, jamais, devant ses subordonnés, ne fait, lorsqu’elle s’yrend, que de courtes apparitions aux cocktails et dîners mondains, puisrentre se coucher avant 23 heures。

  Elle a deux enfants, Charlie, 22 ans, et Katherine, dite Bee, 20ans, s’est séparée de leur père, David Shaffer, pédopsychiatre, etfréquente un milliardaire texan (mais démocrate), Shelby Bryan. Lesmagazines people se sont amusés de la romance, qui semblait enfin lalibérer. Quelques mèches folles, tout au plus, bougèrent du casque d’or.

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